2010年11月14日日曜日

ドキュメンタリーえいが

Classé dans les
10 meilleurs docu­men­tai­res de 2009
par le maga­zine Kinema Junpô
Goendama

ご縁玉


En juin dernier à la MCJP
Vous avez aimé, vous avez raté, vous n’avez pas pu rentrer à…
la projection du documentaire ‘’Goendama’’ ?
Il sera à nouveau diffusé à Nanterre
 
Le film Goendama sera projeté le 30 Novembre à 19heures à la Maison de la Musique de Nanterre (salle 500 places, entrée libre) en présence du violoncelliste Eric-Maria Couturier.
La soirée, placée sous le signe du programme national Culture – Santé est organisée par la Maison de la musique et le CASH - Centre d’accueil et de soins hospitaliers - où le violoncelliste a déjà donné plusieurs concerts.
A l’issue de la projection, quelques personnalités du monde de la santé, du social et de la culture témoigneront sur les bienfaits de l’art sur les personnes. Allumer une petite lumière dans le cœur de ceux qui souffrent et, à travers eux, apprendre nous-mêmes à regarder la vie avec bienveillance.
 
RER A - Nanterre Ville - Sortie n°3 Maurice Thorez (15’ de CDG Etoile)
Suivre la rue du même nom puis 2e à gauche et 1ére à droite (7’ à pied)


 Eric-Maria Couturier, vio­lon­cel­liste, ren­contre à Paris Izumi Yamada, une ensei­gnante japo­naise de 49 ans atteinte d’un can­cer. Ses jours sont comp­tés et c’est dans la capi­tale fran­çaise qu’elle a choisi de faire le der­nier voyage de sa vie.
Lors de cette rencontre, ils s’échangent un objet en se promettant de se revoir au Japon. Il lui remet un éventail qui lui est cher ; elle lui transmet une pièce de cinq yens (go-en en japonais, terme recouvre les notions de destin et de liens qui unissent les gens).
Eric-Maria retrouve Izumi au Japon : il lui a en effet pro­mis de lui jouer de la musique pour tenter de soulager ses douleurs. La caméra de Masayasu Eguchi le suit à partir de son départ de Paris.
Pour Eric-Maria Couturier, ce voyage s’apparente également à un cheminement spirituel vers ses origines. Orphelin à la suite de la guerre du Vietnam, il a été adopté par un couple français alors qu’il avait 9 mois. Sa mère adoptive est décédée, il y a 9 ans, d’un cancer du sein.
On le suit ainsi de Paris à Kyoto, puis à Oita, la ville d’Izumi, où il se livre à une interprétation spéciale pour les enfants d’un orphelinat où elle a longtemps travaillé. 

‘’Un documentaire qu’on devrait voir tous les matins, avant d’aller bosser’’
Takashi Miike, réalisateur

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